Année d'édition : 1998
Edition : Pocket
Nombre de pages : 477
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture :
Martin Stillwater a une imagination fertile. Une imagination qui a séduit son épouse, qui fait la joie de leurs petites filles et qui assure à ses thrillers un succès toujours grandissant. Mais peut-être a-t-il une imagination trop fertile... Par un après-midi pluvieux, un incident terrifiant le pousse à se demander s'il n'est pas en train de perdre le contact avec la réalité. Puis soudain, un inconnu, son sosie parfait, s'introduit chez lui, l'accusant de lui avoir volé sa femme, ses enfants, bref sa vie. Affirmant être le véritable Martin Stillwater, l'intru se déclare prêt à tuer pour récupérer ce qui lui revien de droit. Pour Martin, le cauchemar ne fait que commencer.
Edition : Pocket
Nombre de pages : 477
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture :
Martin Stillwater a une imagination fertile. Une imagination qui a séduit son épouse, qui fait la joie de leurs petites filles et qui assure à ses thrillers un succès toujours grandissant. Mais peut-être a-t-il une imagination trop fertile... Par un après-midi pluvieux, un incident terrifiant le pousse à se demander s'il n'est pas en train de perdre le contact avec la réalité. Puis soudain, un inconnu, son sosie parfait, s'introduit chez lui, l'accusant de lui avoir volé sa femme, ses enfants, bref sa vie. Affirmant être le véritable Martin Stillwater, l'intru se déclare prêt à tuer pour récupérer ce qui lui revien de droit. Pour Martin, le cauchemar ne fait que commencer.
Martin Stillewater est un auteur de romans policiers. Ses romans se vendent
très bien et il est fier d'inventer de nouveaux contes à ses deux petites filles
chaque soir avant de les coucher. Paige, sa femme est une psychothérapeute et
leur couple fonctionne à merveille. Un jour pourtant, Martin est victime d'une
absence où il ignore ce qu'il a fait pendant sept longues minutes à part répéter
en bouche « j'ai besoin ». Inquiet il va en parler à sa femme et à son médecin.
Mais à l'autre bout du pays, Alfie, un tueur sanguinaire se sent attiré par la
maison de l'écrivain. Il est persuadé que Martin lui a volé son identité et sa
famille. Le psychopathe qui a été entraîné à tuer à ne plus ressentir de
crainte, de compassion ou de sentiments positifs n'arrêtera pas tant que sa
famille ne lui sera pas rendue. Et il est prêt à tout pour les récupérer.
Dean Koontz est un auteur que j'apprécie beaucoup.
Ses romans ont toujours un côté psychologique très prononcé et des personnages
étonnants. Son style est assez vif, même si on remarque toujours quelques
longueurs qui peuvent gêner.
Mr Murder est un roman qui m'a bien surprise. J'ai
apprécié l'histoire assez complexe qui transforme un simple père de famille en
homme prêt à tout pour protéger les siens d'une menace terrifiante, surtout
quand l'autre lui ressemble trait pour trait et n'éprouve aucun sentiment,
cherchant simplement à le détruire pour s'emparer de sa famille. Un combat
acharné entre deux hommes qui veulent la même chose : leur famille. On suit donc
trois histoires dans ce roman. La première c'est la fuite de Martin et sa
famille pour échapper à l'autre. Il va tenter envers et contre tout de les
protéger même lorsque la police locale ne croit pas à son histoire et pense
qu'il fait un coup de pub pour la sortie proche de son nouveau roman. La seconde
histoire qui rejoint la première, c'est Alphie cet homme perturbé qui n'a plus
rien d'humain et qui se sent attiré par Martin, pensant que la paix intérieure
qu'il recherche est à sa portée, en devenant lui-même Martin pour vivre avec sa
famille.
C'est la partie qui m'a le plus touchée, parce
qu'on sent la détresse d'Alphie, on le découvre malheureux, agissant parfois
malgré lui et ne se rendant pas compte de ce qu'il commet. Il a été programmé
pour tuer pour une organisation secrète et il ne s'arrête pas tant que sa tâche
n'est pas terminée.
Et enfin, on découvre deux personnages troublants
Cloker, un homme imposant et fan de Star Trek et son coéquipier Oslett. Leur
tâche est de retrouver Alfie et de le ramener à l'organisation parce qu'il a
déraillé. Ces deux hommes sont tout aussi fous que le tueur. Ils sont sans
pitié, n'hésitant pas à laisser des morts derrière eux pour diminuer la
population qui grandit trop vite !
Des personnages, ils ont tous une grande part de
folie en eux et même s'il est difficile de se comparer à eux, on s'y attache
parce que chacun à leur manière ils tentent de survivre. J'ai d'ailleurs eu
beaucoup de compassion pour Alphie parce qu'il agit malgré lui, il n'a pas
demandé à être un rat de laboratoire et à ce qu'on procède à des expériences sur
lui.
Au final, on a là un bon roman de Dean Koontz,
mais pas l'un de ses meilleurs !
Ma note :
Lecture commune avec Alexia !
Moi aussi à un moment Alfie m'a fait mal au coeur et puis quand il disait ce qu'il allait faire subir à sa nouvelle famille, là il n'y avait plus aucune compassion de ma part.
RépondreSupprimerBiz
lol bah Alphie n'est pas tout à fait humain, donc on peut pas lui en vouloir je pense ^^
Supprimerbisous Alexia !
Le résumé est très tentant, ton avis aussi, donc c'est noté :) Bises
RépondreSupprimerbonne future lecture donc ^^
Supprimerbises !
Bon j'ai pas mal de Koontz à lire, il n'en fait pas partie et ton avis mitigé me fait hésiter mais l'histoire me plaît. A garder en mémoire :p
RépondreSupprimerBisous
c'est un roman sympa mais pas l'un des meilleurs que j'ai lu de lui ^^ ( j'en ai encore 4-5 dans ma PAL de cet auteur !)
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